Le choix d’une forme juridique est un passage obligé lors de la création d’une société. Il est de ce fait indispensable de connaître les options envisageables pour se lancer sans faux pas.
L’entreprise individuelle implique la fusion du patrimoine personnel et professionnel de l’entrepreneur. Les bénéfices et les dettes de l’entreprise sont de ce fait de la responsabilité du dirigeant.
L’EIRL ou entreprise individuelle à responsabilité limitée de distingue du statut précédent par la dissociation des patrimoines personnel et professionnel.
Dans le cas d’une EURL ou entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée, la société ne compte qu’un unique associé. Sur la forme, elle ressemble à l’EIRL. Cependant, elle se conforme aux exigences imputables aux SARL.
La SARL ou société à responsabilité limitée compte entre 2 et 100 associés. Chacun est responsable des dettes à la hauteur de son apport personnel initial.
En ce qui concerne la SA ou société anonyme, les associés gèrent des actions basées sur le capital investi par chacun. Il est judicieux d’établir un directoire agissant sous l’égide du conseil de surveillance.
Il existe d’autres statuts comme la SAS, la SASU, la SCP ou encore la SELARL. Il est de ce fait primordial de se faire assister par un expert pour définir la forme juridique adaptée.